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21 mars 2007 3 21 /03 /mars /2007 20:16

La troupe du Théâtre ZIP

 

du Cégep de Trois-Rivières

présente

Les maux du temps

une mise en scène de Stéphane Bélanger

les 23, 24, 30 et 31 mars 2007

au Centre social du Pavillon des Humanités

20 h -  billet 5 $ à l’entrée

Comédiens : 

Janik Bellemare, Caroline Lacoursière,

Pier-Olivier Bellemare, Sonia Palato, 

Fannie Trépanier, Jessica Ouellette,

Vanessa Gemme et Joanie Rousseau

 La troupe du Théâtre ZIP du Service socioculturel remonte cette année sur les planches avec une production plus… déroutante. Une production qui oppose la dureté du monde des adultes à la naïveté du monde des enfants…

 

 

  Le Petit Prince avait raison, « Les enfants doivent être très indulgents envers les grandes personnes », car elles ne savent plus rire, elles ne savent pas chanter et elles ont peur de rêver.  Quand on grandit on oublie la lune, on oublie l’amour, on crache sur la magie.  Pourtant elle est là, au bout de chacun de nos doigts, attendant que les joues froissées aux cœurs lisses y croient juste un peu.  Attendant que nos yeux s’ouvrent.  Car les yeux de l’enfant voient ce que le cœur aveugle, le cœur de gravier ne peut toucher.  L’enfant marche dans les tulipes, vers la fenêtre de coquillage qui s’accroche au temps, à la boîte à musique des histoires étoilées.  Le Petit Prince avait compris qu’en demandant un mouton, celui qui dessinerait ces mots ressusciterait la petite fleur d’enfant en lui, lui qui ne l’avait pas arrosée depuis longtemps.  Et qu’il faut inonder, parce que le soleil brûle lorsqu’on n’est plus enfant.

 

Fannie Trépanier

Extraits, Les Maux du temps 2007

 

 

 LES MAUX DU TEMPS est une production qui s’est construite autour d’un collage de contes pour enfants, de fiches de participants de Loft Story, de chroniques de potins artistiques sur  Internet, d’extraits d’un livret d’instruction pour l’utilisation d’un téléphone cellulaire, de poésie, de cadavres exquis, d’un meurtre et surtout de l’enfant qui sommeille en chacun de nous. Un mélange surprenant, déroutant et rempli de surprises…

 

Pour informations :

Louise Camirand

Resp. Service socioculturel

Cégep de Trois-Rivières(819) 376-1721 poste 2512

Stéphane Bélanger

Metteur en scène

Trois-Rivières

(819) 375-5013

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21 mars 2007 3 21 /03 /mars /2007 12:53

 

Communiqué Cosmétique ! 

 

L’aspect théâtral du roman Cosmétique de l’ennemi

 

 

« Magnifique exemple de la parole qui enserre, resserre et piège mortellement. »

 

(Laureline Amanieux, critique pour ecrits-vains.com)

 Sous forme d'un dialogue entre Jérôme Angust (qui attend son avion à l'aéroport) et Textor Texel (l'importun), le roman est un appel au théâtre. Amélie Nothomb excelle dans ces situations d'affrontement. Dans Cosmétique de l'ennemi, c'est un face à face entre deux hommes, un échange qui unit le plausible et l'impossible, marie l'affabulation et la réalité pour faire naître un véritable thriller.

 

 

Résumé du roman d’Amélie Nothomb

 Dans la salle d'attente d'un aéroport, Jérôme Angust, homme d'affaires passablement exaspéré par le retard de son avion, est abordé par le raseur des aéroports, un personnage dérangé et dérangeant qui s'est mis dans la tête de raconter sa vie à ceux qui ne demandent rien. Textor Textel, l’importun type, a choisi sa victime et, imperturbable, se met en devoir de dérouler les menus faits de son existence et peu à peu d'avouer ses forfaits et ses crimes. Ou plutôt son crime parfait…  

 

 

Double machiavélique d'Amélie Nothomb, Textor, «tissu de mots», devient une véritable logorrhée déferlante assaillant Jérôme. Inquiétant, sournois, Textor Texel virevolte littéralement autour de son otage, tel un moustique qui non seulement pique, mais énerve par son bourdonnement. Il a des airs superbes de moquerie, des moues qui appellent les coups. Son discours, d'images en mensonges, mime les multiples détours que prend l'inconscient pour nous faire comprendre sa vérité.  

 

Une adaptation théâtrale signée Éric Ahern

 Éric Ahern, qui travaille comme professeur spécialisé en psychiatrie au département des sciences infirmières de l’UQTR, vit aussi une passion particulière pour le théâtre. En une quinzaine d’années, il a joué dans une vingtaine de spectacles avec les principales troupes de la région mauricienne. L’intérêt d’adapter Amélie Nothomb au théâtre remonte à 2003, alors que Jacques Crête projetait d’en faire la mise en scène au Théâtre de l’Eskabel à Trois-Rivières. Malgré le fait que L’Eskabel a cessé ses activités, son intérêt pour réaliser l’adaptation théâtrale du roman d’Amélie Nothomb ne s’est pas dissipé.

 Dans la quinzième version, celle approuvée par Amélie Nothomb, Éric Ahern a inséré quelques répliques provenant de ses autres romans ; il s’est également permis d’interchanger quelques blocs d’histoires (l’équivalent de chapitres) pour faciliter le jeu et la compréhension dramatique.

 

 

Une mise en scène qui plonge le spectateur au centre de l’action  

 

Il fallait trouver des lieux théâtraux qui ne soient pas uniquement frontaux (à l’italienne), afin que les spectateurs aient l’impression eux aussi de se retrouver dans une salle d’attente d’aéroport, avec des télés et des voix de speakerines nous informant des heures d’arrivée et de départ des avions. Le spectacle mise en grande partie sur la force du texte et le jeu des acteurs, mais en certaines occasions, il pourra confondre les spectateurs en leur faisant vivre, en sons et en images, le voyage intérieur vécu par le personnage principal.

 Tout réaliste qu’il semble être au début, le spectacle se transformera suivant le cours de l’évolution psychologique du personnage de Jérôme. Subtilement mais sûrement, aidés du maître du jeu Textor, les spectateurs auront l’impression de glisser dans un monde décalé, où les raisonnements qui régissent l'univers sont totalement dénaturés.

 Équipe de créateurs

 Interprètes : Éric Ahern, Martin Bergeron et la participation spéciale de Marjolaine Deschênes.

 

 

 

Concepteurs : Yannick Legault (mise en scène et dramaturgie), Luc Levreault (éclairages), Jay Danse (vidéo), Steve Normandin (musique) et Henri Morrissette (décor).  

 

Lieux, car il y en a deux !  

 

Salle Louis-Philippe-Poisson de la Maison de Culture, les 21-22-23-24 et 30-31 mars, en après-midi et(ou) en soirée, ainsi qu’au Centre culturel Pauline-Julien en soirée, les 6, 7 et 8 avril 2007.

 Pour plus d’informations, veuillez contacter dès maintenant le THÉÂTRE 3R au no. de tél. : 819-697-1341 ou par courriel : theatre3r@sympatico.ca 

 

 

Nos tarifs, intéressants !

 Adulte (général) : $22 par personne,

 Étudiant et âge d'or : $18 par personne,

 Groupe adulte (10 et +) : $18 par personne,

 Groupe étudiant et âge d'or (10 et +) : $15 par personne,

 Tarif groupe étudiant du secondaire : $14 par personne.

 

 

 

 

 

(À ces tarifs où les taxes sont incluses s’ajoutent les frais de billetterie)

 Si vous désirez organiser une sortie théâtrale avec vos étudiants, vos élèves, un document d’accompagnement sera disponible et il sera également possible de faire venir un des créateurs à votre école.

 N’hésitez pas à nous contacter et merci de diffuser ce communiqué !!

Yannick Legault

 

 

 

Directeur artistique du THÉÂTRE 3R

Tél. : 819-697-1341 ; courriel : theatre3r@sympatico.ca

 

 

 

 

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19 mars 2007 1 19 /03 /mars /2007 15:53

LES MAUX DU TEMPS

Au Centre social du Pavillon des Humanités du Cégep 
Les 23, 24, 30 et 31 mars 2007 à 20 h
Entrée 5$ (à la porte seulement)

Texte à suivre...

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19 mars 2007 1 19 /03 /mars /2007 14:25

 

 

La vie modique.  La Maison de la culture, plus précisément la salle Anaïs-Allard-Rousseau, au nom des Nouveaux Compagnons, vous ouvrira grandes les portes les 29, 30 et 31 mars ainsi que les 5, 6 et 7 avril prochains.

Résumé de «La vie modique» 

          Comment vivent les gens dans un HLM pour personnes âgées ?  Quelles relations entretiennent-ils avec les autres, avec le monde, avec la vie ? Des guerres intestines mais aussi des amitiés particulières s’y créent.  C’est ainsi que l’originale Elizabeth Larochelle, une ancienne comédienne, entraîne Léo Hamel, veuf depuis peu, dans la quête du moment présent. Vivant avec intensité et sans retenue, elle lui transmet son goût de «déballer  les cadeaux de la vie» car, selon elle, «nous souffrons tous beaucoup trop d’un manque de démence».  L’entourage au complet réagit   aux comportements surprenants de cette femme qui affirme vigoureusement : « Y’a pas plus fort que la vie quand on y tient vraiment».

LA SUITE...

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22 janvier 2007 1 22 /01 /janvier /2007 17:19
 

 

  5250, St-Valère

(Trois-Rivières, 12 janvier 2007)  Du théâtre de création entièrement trifluvien prendra d’assaut les planches du Studio Théâtre de Trois-Rivières très bientôt.  En effet, Les Productions des Mots…Céans présentera 5250, St-Valère, une pièce signée des auteurs Marie Gagnier, Pierre Labrie, Véronique Marcotte, Martin Paré et Marc-André Cossette, dans une mise en scène marquante de Reynald Viel.

 Nous sommes un 14 février, c’est la St-Valentin, un homme, une femme, tout vit et meurt au 5250 de la rue St-Valère.  Du début à la fermeture du jour, les âmes errent, s’éveillent devant la beauté et la cruauté du monde, parce que dans l’ombre, il faut y voir la lumière.  Le passé, le présent et le futur dominent comme une seule entité qui survit ici et maintenant. C’est entre quatre murs que s’entrechoquent les univers uniques et complexes des cinq auteurs.  

 

 

À la réception des manuscrits, ce qui a tout de suite fasciné le metteur en scène, c’est que, sans s’être consultés, les auteurs ont tous emprunté des routes parfaitement parallèles.  Avec pour seules contraintes, une adresse, le soir de la St-Valentin, et un homme et une femme réunis en scène, ils en sont tous venus à la solitude, au désespoir et à la folie. Et voilà qu’entre en scène une distribution remarquable : Josée Dargis, Marie Milette, Karine Parenteau, Stéphanie Champagne, Christian Champoux, Nathan Champagne et David Lebel.

 À l’heure où les débats sur la place et l’importance de la culture en région - qui s’oppose à celle des grands centres - prennent lieu, 5250, St-Valère vient faire la preuve qu’il est possible de faire du théâtre de qualité et professionnel avec un produit qui est entièrement d’ici. Allier nos forces pour un théâtre vivant.

 

 

La pièce sera jouée tous les vendredi et samedi du 19 janvier au 24 février 2007 à 20h au Studio Théâtre (coin St-Maurice et St-François-Xavier à Trois-Rivières, sous-sol de l’église Notre-Dame-des-sept-Allégresses).  Le coût est de 12$ à l’entrée et de 10$ en prévente.  

 

Pour achat, réservation et information, les personnes intéressées peuvent téléphoner aux numéros 819-694-6095 ou 819-609-5013.

Pour information et entrevues :

 

 

 

Pierre Labrie / info_motsceans@yahoo.ca

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20 janvier 2007 6 20 /01 /janvier /2007 05:26

L'ABC DU BLOGUE?

J'ai reçu plusieurs courriels de gens qui avaient de la difficulté à laisser un commentaire le Blogue :

1-     Cliquer sur l'onglet AJOUTER UN COMMENTAIRE à la fin de l'article en question.

2-     Inscrire votre nom et votre e-mail dans les cases appropriées.

3-     Taper votre texte (gardez toujours une copie de sécurité)

4-     Recopier les caractères dans la case appropriée (Pour l?exemple : ftk)

5-     Si les lettres n'apparaissent pas dans la case en question, vous devez actualiser la page en appuyant sur les touches ctrl et f5 (en même temps)

6-     Cliquez ensuite sur publier

7-     Si les problèmes persistent, vous pouvez faire parvenir votre texte à theatre.etcetera@sympatico.ca vous n'avez qu?a mentionner le titre du texte auquel votre commentaire s?adresse?

 

EXEMPLE :

 

 

 

Stéphane Bélanger

Théâtre Et Cetera

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19 janvier 2007 5 19 /01 /janvier /2007 22:31

Censurer ou ne pas censurer, là est la question… 

 

Lors de mon premier article de l’année, je mentionnais qu’il n’y aurait plus de censure de ma part sur le Blog. Je crois que certaines personnes croyaient que cette résolution s’adressait à eux… Le Blog est un espace de commentaires et de débats d’idées mais pour y participer, il y a malheureusement un pré requis : il faut avoir quelques choses à dire… C’est une chose qui est essentielle. Il n’y aura plus de censure sur le Blog. Que les commentaires soient positifs ou négatifs, tous seront publiés s’ils sont pertinents. Malheureusement en tant que bloggeur en chef, c’est moi qui jugerai de la pertinence des commentaires et des articles soumis. C’est malheureux mais c’est comme ça. Je m’excuse sincèrement auprès de mes dernières victimes et je ne vous dirai qu’une chose : envoyez-moi à nouveau vos commentaires en y ajoutant une touche de pertinence, d’intelligence et surtout de savoir-vivre et vous serez publiés… Ah, j’oubliais j’aimerais que les commentaires soient signés de vos véritables noms et si vous avez une appartenance quelconque dans le monde du théâtre veuillez en faire mention…

 

Stéphane Bélanger

Directeur artistique

Théâtre Et Cetera

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6 janvier 2007 6 06 /01 /janvier /2007 02:43

LE RETOUR...

Bonjour à tous... Je suis de retour à la tête du blogue pour une nouvelle année. Cette pause de presque deux mois a été nécéssaire pour procéder à une certaine réorganisation de la vocation de la compagnie Théâtre Et Cetera ainsi que de son lieu de diffusion Le Studio Théâtre. Ce changement de cap influencera aussi le contenue du blogue qui sera plus orienté vers la transmission d'idée sur le théâtre de notre belle ville d'histoire et de culture... Je dois avouer que par peur de heurter certaines sensibilités je me suis censuré à plusieurs reprises ce qui a largement contribué à un désintéressement de ma part pour le contenu du blogue. Le blogue a aussi démontré que les débats d'idées en ce qui concerne le théâtre,  sont peu nombreux dans notre belle ville d'Histoire et de Culture...

Comme résolution du nouvel an, il n'y aura plus de censure sur ce blog... Je ne me ferai peut-être pas beaucoup d'amis...de toutes facon je n'en ai pas énormément...

Bonne année à tous et surtout bon théâtre...

Stéphane Bélanger

Directeur artistique 

Théâtre Et Cetera 

 

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3 janvier 2007 3 03 /01 /janvier /2007 18:13

Le Studio Théâtre
Église Notre-Dame-des-Sept-Allégresses
(au coin de la rue St-François-Xavier
et du boulevard du St-Maurice)

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3 janvier 2007 3 03 /01 /janvier /2007 00:22

LE JOURNAL D'UN FOU

                                            

D'après le texte de NICOLAS GOGOL

Un spectacle de Stéphane BÉLANGER

Assisté de Geneviève LAFLEUR

Les Vendredis et Samedis

du 29 juin au 1er septembre

L'équipe La pièce Le Studio Communiqué

UNE PRÉSENTATION DU THÉÂTRE ET CETERA

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